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Mer 22 Juil - 22:01 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Si tes yeux peuvent parfois briller, et si tes lèvres peuvent rarement sourire, ce n'est qu'une façade que tu t'es construite. Insaisissable comme la neige, tu l'as toujours été, et dur comme la glace, tu as été modelé. La tendresse, tu n'y as jamais goûté. Tu as été forgé par le froid, par la cruauté d'un hiver constant, et sans fin. Pourtant, tu sais au fond de toi que Nothrcrown n'est que la partie visible de l'iceberg. Quelque chose est dissimulé, quelque chose qui a toujours été là, en toi. Dernière tes yeux d'un bleu limpide, derrière ton sourire angélique, et même dans tes paroles les plus douces. Cette chose est partout et nulle part à la fois. Ayant établi son logis dans ton esprit, elle vogue un peu partout au travers de ton corps. Elle t'influence cette chose, te chuchote à l'oreille de vilains mots. Elle t'a non seulement poussé à faire « ci » et « ça », et t'as aussi déchargé de tous regrets. Cette chose, l'homme lui a donné un nom : le mal. Et tu n'es pas devenu comme ça, tu es né avec. Aussi loin que tu te souviennes, il t'a toujours accompagné. Te tapotant l’épaule pour te motiver à faire ce qui devait être fait, sans sourciller. Te donnant conseil aussi, t'aidant à choisir entre la glace et le couteau par exemple. Oui, aussi loin que tu puisses remonter dans les méandres de tes souvenirs, ce truc avait toujours été là. Tu ne t'es jamais posé de question sur lui, non, ne pouvant être interloqué par quelque chose que tu as toujours connu. Par contre, tu t'es toujours demandé si c'est chez toi que quelque chose clochait, et pas chez les autres. Les regards qu'on t'offre ne t'ont jamais trompé. Tu inspires la peur. Tu forces le respect. Dans ton pays, on te voit comme une idole, une divinité alors qu'à l'étranger, on te pointe du doigt de manière insultante. On dit de toi que tu es violent et sanguinaire. On salit ton nom de quelques mots déplaisants : monstre, dictateur, fou. On t'attaque, te désapprouve, te critique … Et tu ne fais absolument rien pour faire taire les langues de vipère. Au contraire. Que ces misérables imbéciles continuent de parler de toi comme ils le font, qu'ils nourrissent par leur bouche la crainte que tu incites. Ces crétins ne savent-ils pas qu'ils te rendent service ? Tu n'as même plus besoin de décoller ton royal fessier de ton trône pour faire appliquer tes desseins. Ton nom le fait pour toi.
INFOS EN VRAC : Plus que ton sens de l’observation, tu as un sens critique très aiguisé. Tu remarques les détails, surtout ceux qui te déplaisent et tu aimes en faire tout un drame. •
| NOM ◊ Dans tout Enarya, ton nom n'est pas inconnu. Chaque lippe l'a déjà prononcé au moins une fois, soit pour le dénigrer, soit au contraire pour le vénérer. Icelandik. Un nom qui a toujours fait parler de lui, et qui ne laisse guère indifférent ; même par-delà la mer gelée. Tu aurais pu lui offrir un semblant d'humanité, toi, son héritier, au lieu de quoi tu l'as un peu plus assombri et tâché de beaucoup plus de sang. PRÉNOM ◊ Adalrik. Un prénom qui sonne dur, qui sonne fier, qui te décris comme quelqu’un de solide, de fort. De brave. Parce qu’il faut être un véritable roc dans un monde tel que le tien. Brynjolf. Avec fierté, avec majesté. Il n’existe pas plus royal que le prénom d'un roi, pas pour toi du moins et tu en tires un grand honneur. Tu te pavanes avec ton nom, comme certaines de tes maîtresses le faisaient avec leurs robes et leurs bijoux. Toi, tu as plus de classe et un rien t’habille : un nom te suffit. SURNOM ◊ On t'a toujours prêté des noms. Au Val de Joly, on t'appelle le tyran des glaces, alors qu'à Sailorland on t'appelle le terrible. Il n'y a que dans tes terres finalement, où ton surnom te sieds à merveille. Te prenant pour un dieu, tu es le faiseur de magie, le bienfaiteur de Northcrown. Tu es pour ton peuple, l'élu, le favori des cieux. Amalrik le divin. AGE ◊ Trente-six hivers. NAISSANCE ◊ Tandis que le calme si caractéristique de Northcrown planait doucement sur la capitale, Arendelle, d'un coup, lorsque tes cris de poupons résonnèrent lors de ta venue au monde, une tempête de neige frappa violemment le pays durant trois jours te trois nuits. PAYS ◊ Northcrown, el pays de l'hiver. MÉTIER/FONCTION ◊ Roi. Tu gouvernes main dans la main avec ta sœur. Binôme inséparable, vous avez scindé le pouvoir exécutif en deux. Elle se chargeant des affaires internes, propres au pays. Tandis que toi, tu t'occupes des affaires extérieures, tu es celui qui se déplace quand c'est nécessaire. Tu es également chef des armées. PARTICULARITÉ ◊ Tout comme le fût ton ancêtre Elsa, tu es capable de maîtriser la glace et de geler tout ce que tu touches. STATUT CIVIL ◊ Éternel célibataire. Jamais tu n'as connu ce que l'on nomme « amour ». Peut-être t'a-t-il oublié ? Non, c'est toi qui l'as snobé plutôt. L'amour est futile, volage ? Toi, tu as reçu à la naissance quelque chose de plus beau, de plus fiable, moins incertain et capricieux. Tu as reçu le cadeau divin, une sœur jumelle. Pourtant, aujourd'hui te vient l'idée d'un mariage. Tu ne recherches pas l'amour non, tu recherches une descendance par contre. ORIENTATION SEXUELLE ◊ Venus adorées aux formes séductrices. Tu t'es toujours laissé aller à leurs doux mot susurrés. Peu t'importe la manière dont l'acte se déroule ; tu le fais sans réfléchir, tu t'y acoquines, t'y enivre. Lisse sous toute couture, tu aimes la brutalité de l'une, la faiblesse de l'autre, et dessine à la mine de plomb leurs coutures imparfaites. MILIEU SOCIAL ◊ Pur et bleu, parce que tu es de sang royal, parce que tu es bien plus précieux que les autres. Tu es Tsar, Roi de Northcrown. Ton sang n’est pas seulement gorgé de magie, il chante aussi comme un rossignol, il te projette bien au-dessus des autres. Meilleur que les autres, parce que ton sang est plus goûteux. Aussi bien dire que ta richesse matérielle découle assurément de celle de ton sang, liquide bien trop merveilleux. Tu comprends les autres de t’envier. SITUATION FAMILIALE ◊ Edle, ta sœur jumelle, ta tsarine, ta moitié, ton tout. Si elle te complète à merveille, tu es son absolu. Et il n'y a pas plus important à tes yeux que ce bout de femme, ton toi féminin. Toutefois, vous n'êtes pas seul. Entouré de divers cousins, vous formés une grande famille. CONTE & ANCÊTRE ◊ Descendant direct de la Reine des Neiges (Frozen), Elsa Première et de Jack Frost.
ADALRIK let the storm rage on |
Dernière édition par Adalrik B. Icelandik le Jeu 23 Juil - 21:10, édité 5 fois |
| | Mer 22 Juil - 22:01 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| ◊ Que pensez-vous de la reine actuellement au pouvoir qui détient le contrôle de la capitale, Glasscity? Que vous évoque son arrivée sur le trône? Croyez-vous les mauvaises langues qui suggèrent qu'elle aurait usurpé la défunte reine Blanche-Neige? La Reine, Evil Queen, l'Empoisonneuse. Cette femme a certainement aussi mauvaise réputation que toi, si ce n'est plus encore. Soupçonné d'avoir usurpé le trône, et d'avoir tué la dernière régente, on parle plus de ses frasques que des tiennes, et ce, pour une seule raison : toi, ta couronne, tu ne l'as pas volé, et tu es vu comme un dieu par ton peuple. Tu peux facilement te mettre à la place de cette femme, alliée, pour une durée indéterminée. Après que ce soit vrai ou faux, tu n'en as cure. Ce n'est pas ton problème.
◊ On dit qu'une révolte se prépare en silence contre la reine d'Apple-Kingdom, avez-vous eu vent de la rumeur? Quelle est votre opinion là-dessus? De quel côté pencherez-vous? Tu as entendu quelques rumeurs sur la question, du moins, c'est surtout ta sœur qui en a eut vent n'ayant jamais donné d'importance au 'on dit' contrairement à ta moitié.. Vraies ou fausses, là n'est pas la vraie question. Celle à se poser est plutôt celle-ci : si rébellion il y a, que feras-tu vraiment ? Ta sœur et toi aviez déjà évoqué le sujet, et pour l'instant, vous ne vous êtes pas encore décidé. Il y a trop de facteurs à prendre en compte, sans compter les divers mariages qui on eut lieu entres les différents royaumes.
◊ Comment considérez-vous votre famille suzeraine? Est-elle bonne pour le pays selon vous? Entretenez-vous une relation spéciale avec ses membres? La famille suzeraine ? Tu en es le chef. Tu es Roi, tu es le Tsar. Maniant d'une main de fer dépourvu de gant de velours ta famille et ton pays, tu n'as jamais aimé les dérapages quel qu'il soit. Vous êtes un symbole, celui du pouvoir. Vous êtes le futur, celui de l'espoir. Et tu ne toléreras jamais qu'on entache ainsi votre blason. Que ce soit interne ou externe à votre maison. La discipline a toujours été de rigueur chez toi, une convenance à ne pas feindre. Ainsi, tu vois tout. Tu entends tout lorsqu'il s'agit des membres de ta famille.
◊ De quelle façon pourriez-vous décrire le royaume où vous résidez? La vie y est-elle plutôt tranquille, facile? Ou vivez-vous dans une galère de tous les jours que vous aimeriez quitter pour le faste d'un palais ou la beauté d'une autre contrée? Ton pays est certainement le plus rude d'Enarya. Il n'y fait pas bon vivre, du moins pour les gens extérieurs. Vous Nordiens êtes solides, et fort. Le froid ne vous atteint plus, il fait partie de vous. Et toi, Amalrik, tu es un Nordien, un vrai. Tu aimes ta nation, tu aimes cette désolation et cette beauté éphémère que seul l'hiver donne. C'est tout le paradoxe. Il n'y a que par chez vous où on peut voir le blanc immaculé, et la glace éternelle.
◊ Quelle est votre opinion sur la magie? Pensez-vous qu'elle soit bénéfique? Ou au contraire qu'il s'agisse d'une oeuvre diabolique et qu'il faille organiser une chasse à la sorcière dans tous les royaumes? La magie est le pilier de tout ce qui t'importe en ce monde. Elle a forgé ton pays, a participé à l'élévation de ta maison. Elle coule dans tes veines depuis la nuit des temps, aussi naturellement que la neige tombe. Sans magie, tu ne serais peut-être pas le même. Sans elle, tu ne serais peut-être pas là tout court. La magie fait partie de toi, et pour rien au monde, tu ne rejetterais ta nature. Alors qu'on vienne te chasser, qu'on vienne t'importuner, et les chasseurs deviendront chassés.
DIX FLOCONS DE NEIGE ; And in her smile I see something more beautiful than the stars.Ce qu'elle était belle, là, allongée dans la neige. Tes yeux pâles la contemplaient, désireux peut-être d'y dénicher son âme. Tu aurais pu la regarder ainsi toute la nuit durant. Malgré le froid, malgré la neige, tu aurais pu rester là, si c'était avec elle. Elle te fascinait. Douce moitié. Âme jumelle. « Alors ? Comment suis-je ? » Sa voix brisa ce silence si caractéristique de Northcrown, et tu fronças les sourcils, regardant ce visage tant similaire au tien. « Les morts ne parlent pas Edle. » Jeu enfantin, jeu morbide ; qui prit fin malheureusement lorsque vos rires chantèrent à l'unisson. Alors t'allongeant à côté d'elle, ayant cette épaisse couche de neige comme simple lit, tu regardas les étoiles, unissant ta main avec la sienne. « Dis-moi mon frère, est-ce que tu m'aimes ? » Esquissant un sourire ironique, tu constatas comme chaque jour que sa mesquinerie n'avait aucune limite. Cette question, elle te la posait souvent. Trop souvent. Comme pour se rassurer. Sauf qu'elle ne cherchait nullement à être apaisée, elle voulait juste s'assurer que rien n'avait changé depuis la veille, depuis l'avant-veille, et de l'avant-avant veille encore. Au bout de dix ans n'avait-elle toujours pas compris pour que tu sois obligé chaque jour de lui montrer amour et dévotion ? Bien sûr qu'elle l'avait compris, tu l'aurais eut sur le dos sinon. Non. La capricieuse enfant aimait juste constater que tu étais toujours son fervent chevalier. Quoi qu'il arrive, quoi qu'il en coûte. Et elle avait raison. Tu l'aimais plus que tu n'aimais tes propres parents. Tu lui vouais un culte comme elle pouvait t'aduler. Et tu savais malgré ton âge, qu'un jour, tu embraserais le ciel et la terre de ta glace pour elle. L'amour n'était pas terrifiant, il était destructeur. « Réponds. » Ordonna-t-elle avec toute l’autorité d'une reine qu'elle n'était pas encore malheureusement. Et tu te redressas alors, t'allongeant de tout ton poids sur elle. Le bleu pur de vos yeux s'accrocha, l'un à l'autre, et au lieu d'user de tes lèvres pour prononcer un « oui » franc, elles emprisonnèrent les siennes dans un baiser innocent. « Un jour s'il le faut, je gèlerai les mers, la terre, les gens, et même le temps pour toi. » Promesse d'un enfant. Aussi innocentes que véridiques étaient tes paroles. Tu ne le savais pas encore à cette époque, mais dès lors que la couronne embrassa le sommet de ta tête, Edle fut l'épicentre de ton règne. QUATORZE FLOCONS DE NEIGE ; Terror is only justice: prompt, severe and inflexible; it is then an emanation of virtue. applied to the most pressing wants of the country. Le Roi est mort, vive le Roi ! Ton père a donné son dernier souffle de vie, et comme le voulaient les mœurs et la tradition ancestrale de l'héritage ; quand un souverain mourrait, un autre naissait ; inévitablement. Ainsi, sous le regard de feue Elsa Première, par les lois du sacre et devant les dieux, tu es devenu Tsar, roi des glaces. Pourtant à peine sortit de tes langes, tu n'étais encore qu'un enfant. Ta jeunesse te fit malheureusement défaut. Et par le bas peuple, la Tsarine que tu choisis te condamna injustement. Aux yeux de certains groupuscules bien assez fous pour oser défier ta maison, ton trône, tu devais lâcher. Bouches pleines de souillure et de boue, ils avilirent alors ton blason, tes couleurs et ton nom. Impardonnable. Tu devais et allais être impitoyable. « Faisons-les taire à jamais, Adalrik. » Yeux dans les yeux, ta reine te sourit, et tu acquiesças. Oui, tu n’aimais guère le bruit, le préférant au silence morbide. L'ambiance changea alors, le Conseil se tut. Votre décision était prise, et tous les visages autour de toi s’éteignirent ; caché par la nervosité ou par une excitation lugubre. Quelque chose allait se passer, quelque chose de grave, que toi et ta sœur aviez décidé, voulut. Les rebelles allaient disparaître. Les problèmes liquidés. « Mon frère, es-tu prêt ? » Prêt pour quoi exactement ? Tu n'as jamais eut besoin d'être « prêt » pour faire ce que vous alliez faire. Tout n'était question que d'une simple pulsion, et ce, depuis toujours. Se propageant comme un poison dans tes veines, elle te poussait à commettre l'impardonnable. Et il aurait été bien hypocrite que tu joues la comédie en enfilant les vêtements du garçon démuni. Tu n'avais pas peur. Tu n'avais aucune crainte. Tu ne ressentais rien, ni joie, ni frayeur, si ce n'est ton cœur battre plus fort que d'habitude. L'adrénaline. Celle qui donnait le signal à cette fameuse pulsion justement. Tu te savais peu ordinaire. Prêt à commettre le crime absolu, ton visage ne montrait pourtant aucune fébrilité. Quelque chose ne tournait pas rond chez toi. Tu le savais. « Oui, je suis prêt. » Voix nonchalante, presque ectoplasmique comme si tu étais là sans vraiment y être, tes yeux plongèrent dans ceux de ta moitié. Et en quelques heures seulement, le calme et le silence revint, n'ayant que le son des flocons s'écrasant contre les fenêtres comme douce mélodie funèbre. « Ils sont morts ! » ; « On les as tués ! ». Combien de fois avez-vous prononcé les mots censés être interdits ? Tu ne t'en souviens plus. Par contre, tu te souviens des cris. Tu te souviens des pleurs. Tu aurais dû t'arrêter à ton premier rebelle pour montrer l'exemple, mais tu n'as pas pu. Tout simplement. Voir la vie quitter son regard t'a fait frémir, et entendre ses supplications t'a fait sourire. Voilà, la vérité. Tu as aimé ce qui s'est passé dans ce bâtiment, et tu te délectes encore aujourd'hui de chaque instant que tu as passé dedans. Tu as brisé des rêves. Tu as détruit des vies. Faucheur d'innocence, tu es devenu un acteur majeur d'un des chapitres les plus fracassants de Northcrown, et ce, à seulement quatorze ans. Des regrets ? Non, aucun. Tu as pourtant cherché ta réponse dans ce salon. « C'est quoi être 'bon' ? » Tu t'es tout de même posé la question en gelant le sang d'un énième insurgé. La voix de ta conscience s'est fait entendre. Qui était dans le camp des gentils et qui était dans le camp des méchants ? Tu as essayé de comprendre, d'analyser la situation au milieu de ce chaos sanguinaire, toutefois et en toute franchise, le plaisir se propagea dans tes veines et te déconnecta du monde réel. Plus de questions. Plus de pseudo-morales. Plus rien, si ce n'est cette envie de faire tomber des gens et des familles entières du bout de tes mains. Des enfants. Fils et filles de traîtres. Tu n'avais donc aucune limite ? À croire que non. Et ce n'est pas une pseudo-morale qui faisait de toi un être plus humain. Tu as essayé de t'en convaincre – tu essayes encore parfois -, mais tu sais pertinemment que tu te voiles méchamment la face. DIX-SEPT FLOCONS DE NEIGE ; I see a darkness in you. And in that darkness, eyes staring back at me. Brown eyes, blue eyes, green eyes. Eyes you'll shut forever. Elle était là au loin, partageant une conversation animée avec ta tante autour de sa porcelaine à thé. C'était elle que ton père avait choisie pour ton avenir, celle avec qui tu allais partager ta vie. Ta fiancée. Et il t'était difficile de concevoir un jour partagé quelque chose avec quelqu'un. Égoïste jusqu'au bout des ongles, tu n'as jamais vu plus loin que le bout de ton nez, et qu'on te donne le devoir de t'occuper d'une demoiselle si belle, soit-elle, t'irritait. Bien des gens savaient qu'il était mal aisé de t'agacer pourtant. Car là, tu avais envie de lui faire du mal à cette fille. Bien que ce ne soit qu'un justificatif hypocrite à tes pulsions meurtrières. Car tu le savais. Fiancée ou pas, tu avais envie de faire pas mal de chose à la donzelle, et ce, depuis que tu l'avais vu sur le seuil de ta porte. Tu avais le désir d'effacer ce sourire qu'elle arborait. Tu voulais la voir pleurer. Te complaire à la briser, et ce, de façon tout à fait injuste. Pourtant, elle ne t'avait strictement rien fait, tu ne lui avais même jamais parlé. Toutefois, elle portait en elle quelque chose de rare, quelque chose que personne ne tenait dans ses bagages dans ton entourage : l'innocence. D'une certaine manière, et d'une façon contradictoire, c'est ce qui t'amenait à la regarder. Elle t'attirait ; et t'amenais donc à vouloir l'écraser. Drôle de façon de penser, mais voilà bien des années que tu avais prouvé mainte fois ton déséquilibre certain. « Alors c'est elle que tu vas devoir engrosser ? » Sourire narquois sur le visage, le tact n'avait jamais été le fort de ta sœur jumelle. Plongé dans ta contemplation, imaginant bon nombre de façon d’abîmer la fleur qui allait porter un jour ton nom, tu ne l'avais pas entendu venir. Pourtant, tu aurais dû. Étant tous les deux, les deux faces d'une même pièce. « Ne sois pas impolie, Edle. Tu es déjà vilaine, alors que tu ne lui as même pas dit bonjour. » Bien qu'elle soit un peu 'sauvage', elle devait faire preuve d'un minimum de tenue … Du moins, c'est ce qu'aurait dit votre défunt paternel, car toi, tu en avais cure à cet âge de l'éducation ou de l'étiquette. « Et ne la regarde pas comme ça, tu vas lui faire peur ... » Et ce petit lapin que tu avais flairé, tu voulais l'attraper. Quelques mois plus tard … « Il n'y a rien de bon chez toi ... » Ta fiancée avait raison, et tu le savais. Tu ne te rappelais plus comment, ni pourquoi malheureusement, mais tu t'en souvenais par contre. Tu te souviens de cette plaisante effluve caressant subtilement ta peau, parcourant doucement tes bras pour se loger à ton cou, et terminer ensuite sa danse au sein de ton âme. Tu ne lui as jamais donné de nom à cette mystérieuse émanation, pourtant tout le monde la connaît : le mal. S'enracinant irréversiblement à l'intérieur de ton être, tu l'as sentis grandir, grandir ! De manière contradictoire, tu as toujours aimé cette sensation. Tu flirtes dangereusement avec elle depuis ton plus jeune âge. Elle te fait vibrer comme jamais. Te fais sentir vivant, et par-dessus tout, puissant. Pourtant, les murmures d'une naissante conscience te viennent à l'oreille par moment. 'Ce n'est pas bien de faire ça.' 'Tu perdras ton âme'. Et là, tu te sens tirailler face à ce dilemme. Que faire ? Obéir à tes noirs desseins, et écouter la voix de ton instinct primitif, ou te fier à ces chuchotements fugaces ? Cette question, tu aurais dû te la poser bien avant ; bien avant d'avoir poussé celle qui allait un jour devenir ta femme, et qu'elle finisse là inerte aux pieds des grands escaliers de glace. « Et c'est quoi être 'bon' ? » Tu ne le savais pas. Ton père ne te l'avait jamais appris. Par contre, il t'avait inculqué ceci : 'ton sang est ta loi'. Et tu l'avais senti cette envie s'agitait dans tes veines, te surprenant même à avoir des images morbides en tête. Tu la voyais, là, avachit au sol et ne plus bouger. Embaumé de son propre sang, dans ce tableau, le spectateur, toi en l’occurrence, avait fait office de tueur. Tu voulais la tuer. Tu voulais la voir morte, persuadé qu'elle serait d'une beauté sans pareille en lui ôtant toute vie. Pourquoi avait-elle refusé de sortir dehors ? Cela t'aurait évité d'être gêné pour la femme de ménage qui allait sans doute passer par là … Oui, car jamais il ne t'est venu à l'esprit d'être désolé pour cette gamine. Jamais. Ce n'était pas de ta faute. Tu n'étais pas fou … Ou peut-être bien que si. Ce qui était sûr néanmoins, c'était que tu étais le fruit d'un endoctrinement. Le fruit d'une éducation bien particulière, celle d'un héritier. La seule faute que tu as commise, c'est d'être né dans cette famille ; Icelandik. Et c'est ton patronyme qui te lava de tout ce sang. Personne ne t'a montré du doigt pour ça ; au contraire, certains t'ont même félicité. 'Le digne fils de son père' qu'on disait, et cela faisait sourire les plus vieux. Ça te rendait fier. Papa avait été ton héros. Papa avait toujours eut raison. « Pourquoi ne m'as-tu pas laissé faire ? » Tinta sa voix derrière toi.
Dernière édition par Adalrik B. Icelandik le Jeu 23 Juil - 21:47, édité 3 fois |
| | Mer 22 Juil - 22:02 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
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◊ De quelle façon pourriez-vous décrire le royaume où vous résidez? La vie y est-elle plutôt tranquille, facile? Ou vivez-vous dans une galère de tous les jours que vous aimeriez quitter pour le faste d'un palais ou la beauté d'une autre contrée? écrire ici votre réponse
◊ Quelle est votre opinion sur la magie? Pensez-vous qu'elle soit bénéfique? Ou au contraire qu'il s'agisse d'une oeuvre diabolique et qu'il faille organiser une chasse à la sorcière dans tous les royaumes? écrire ici votre réponse
VINGT-QUATRE FLOCONS DE NEIGE ; I'm not gonna kill you … I'm just gonna hurt you really, really bad. Des hurlements. Des cris. La souffrance à l'état brute atteignit tes oreilles pour faire vibrer la moindre parcelle de ton âme. Et cette « musique », tu en es tombé amoureux dès les premières notes. Le mécanisme s'est mis en marche, à la vue des larmes de cette jeune mère, et tu ne pus réprimer un sourire. C'était trop dur de résister. Le 'poison' se répandait dans tes veines, noircissant la moindre de tes cellules. Le monstre s'est éveillé. « Pi … pitié. » Pitié ? Ce mot, tes lèvres ne l'avaient jamais formulé, et ton âme ne l'avait jamais reflété non plus. Tu ne savais pas ce que c'était. Et au lieu de te faire réprimer tes pulsions, les pleurs de cette femme protégeant son enfant t'encouragèrent. Tu n'avais aucune haine pour elle. Tu ne la détestais pas. Tu ne la connaissais même pas, et son existence ne te gênait nullement. Tu étais une bête, cherchant perpétuellement à répondre à ses besoins les plus primaires. Tu avais eu ce désir d'éteindre chaque suintement de vie dans son regard. Et tu voulais atteindre ce qu'elle protégeait derrière elle ... Stoïque, aussi raide que toutes ces statues à ton effigie dispersées aux quatre coins du pays, tu la regardais de tes yeux d'un bleu glacé. Et dans ton regard, rien ne se reflétait. Tu n'étais qu'indifférence face à cette petite pourtant fraîchement orpheline, ayant le cadavre de son seul parent à côté de ses petits pieds. « Tu sais pourquoi ta mère est morte ? » Un sursaut de l'enfant alors que ta voix brisa ce silence pesant. La peur émanait de toutes les pores de son corps, au point qu'elle en oublia même de pleurer après la perte qu'elle venait de subir. Pauvre petite. Tu aurais eu presque pitié d'elle si tu avais su comment on faisait. « Ou … Oui. Elle a offensé votre altesse. » Le regard baissé, posé sur la glace, jamais elle n'osa rencontrer le tien ; et pour cause. Un dieu vivant était en face d'elle, toi. Pouvoir du divin, tu avais l'autorité pour être juge et bourreau de cette toute petite vie, et dernièrement, tu en avais usé sur sa mère. De manière tout à fait injuste, de manière aléatoire, sur un simple coup de tête. Du moins, la raison de cette exécution n'était pas assez justifiable pour qu'elle soit condamnée devant la personnification de l'innocence. Tu n'avais pas tué qu'une femme ce jour-là, tu avais tué une pureté, une blancheur. Cette enfant. Brisant ce qu'il y avait de plus beau chez cette jeunesse éphémère, rien ne transparut sur ton visage pourtant, si ce n'est cette indifférence glaciale qui te caractérisait tant. Des regrets ? Aucun. L'avenir de cette petite avait changé à l'instant même où sa mère avait ouvert la bouche pour se confesser. Elle allait devoir s'habituer, ce n'était que le commencement d'une rude et - peut-être si tu en décidé ainsi -, longue existence. Car le sang qui coulait dans ses veines avait à jamais scellé son destin. « Et à qui dois-tu fidélité absolue ? » Te levant, elle sursauta de nouveau. Et à défaut de reculer par peur, elle resta silencieuse, ne te répondant pas tout de suite. Esquissant alors un sourire qui prouva bel et bien que tu n'étais pas qu'une simple sculpture, tu t'avanças vers elle d'un pas lent. Tu la dominais de bien des manières ne serait-ce que par la taille pour commencer, mais aussi par la prestance. Quelle insignifiante petite chose ! Toutefois te savoir dominant dans cette situation peu glorifiante, ne te contenta que très peu. Cela t'amusait certes, mais ça ne te donnait aucun plaisir immédiat. Alors pour être aussi « égale » qu'un dieu pouvait l'être devant une minuscule petite mortelle, tu t'abaissas, te mettant à sa hauteur. Et là, tu lui donnas la chance d'être touché par le toucher divin. Ta main se glissa sur son menton pour qu'elle lève la tête, et que ton regard rencontre le sien, si similaire. « A sa majesté mon père ... » Finit-elle par te dire. Oui, voilà pourquoi sa mère est morte. Ses yeux ou les traits de son visage le prouvaient, et son pouvoir naissant la légitimait. Cette enfant était la tienne. Cette information t'avait quelque peu contrarié. D'abord parce que tu n'avais jamais eu l'envie d'enfanter, si ce n'est dans les bras d'une reine. En l’occurrence, ta sœur qui était ton seul égal en ce monde. Mais aussi parce, tu avais toujours désiré avoir un garçon. Envie inexplicable, rien de sexiste ou de misogyne là-dedans, une femme ayant bâti le prestige de ta maison. Elsa. De ce fait, dans un sursaut d'impulsivité, tu avais tué cette femme qui avait sali ton nom par le biais d'une bâtarde. Devant des yeux innocents qui plus est. Et cette enfant te jurait quand même fidélité. Voilà, ce qui faisait de toi un roi différent des autres monarques. Ayant tout pouvoir, tout était justifiable, et ce, en un seul mot : dieu. Que la guerre accule le pays des neiges. Que la famine perdure dix années durant. Tant que les Icelandik régnaient, aucun Nordiens n'aurait peur de rien. TRENTE-TROIS FLOCONS DE NEIGE ; We all make rules for ourselves. It's these rules that help define who we are. So when we break those rules we risk losing ourselves and becoming something unknown.Neuf ans. Neuf ans qu'elle était à tes côtés. Tu ne l'as jamais chérie comme un père aurait dû le faire, tu l'as par contre 'aimé' à ta manière. La forgeant selon ton idéale, la sculptant par la glace et le froid, tu l'as fit entrer dans le moule ; celui de la soumission absolue. « Chair de ma chair, sang de mon sang … À qui dois-tu fidélité absolue ? » Tu aimais le lui rappeler, tu voulais qu'elle se souvienne à qui elle devait vouer une reconnaissance éternelle. Sa vie. Sa survie. Son ascension. Son pouvoir. Tout. Elle te devait tout. Absolument tout. Et à l'instar d'un endoctrinement sévère, tu lui as fait subir un bourrage de crâne. Papa était un dieu. Papa était tout. Papa. Patrie. Peuple. Les trois 'p' sacrés, tu lui avais inculqué, maculant son âme au fer rouge de ta marque. « A mon seigneur et père. » Comme à chaque fois, un rictus se dessina sur tes lèvres à l'entente de sa réponse devenue similaire à une litanie, voir même à une prière. Il était bien rare de te voir ravie pourtant, d'habitude ton faciès n'arborant qu'austérité ou indifférence. Preuve que cette enfant, la tienne, tu l’aimais quand même … Du moins, assez pour qu'elle arrive à te voler quelques sourires lors de moments privilégiés comme celui-ci. « Alors pourquoi m'as-tu contrarié, précieuse enfant ? Nous savons tous les deux qu'il est d’intérêt public à ce que je ne le sois pas ... » Le bleu de tes yeux s'assombrit soudainement, et ton sourire disparut comme si celui-ci n'avait été qu'un mirage, une illusion fantasmagorique. Et elle comprit. Elle comprit que tu n’allais plus sourire aujourd'hui, et qu'elle allait sans doute angoissé parce que papa était énervé. Énervé en voyant la chair de son sang hésitait à achever un homme lors de son entraînement. Fallait-il préciser que c'était une insulte à ton nom ? Une main tâchée de sang en ayant terminé le travail pour elle, caressa alors tendrement son visage, qui te rappelait étrangement celui de ta sœur lors de ses années folles, pleines de jeunesse. Et tu continuas : « Je t'ai donné mon nom, et un Icelandik n'hésite jamais. Je n'ai pas hésité une seconde en tuant ta pauvre mère. Je n'ai jamais tergiversé en déclarant une guerre. Et je n'hésiterais pas non plus à faire 'ça' pour que tu comprennes … » Cette tendresse passagère qui lui était dédiée quitta ton corps, et avant même qu'elle ne s'en rende compte, l'enfant devenue jeune fille se retrouva plaqué contre ton bureau., appuyant de tout ton poids sur elle. Sans surprise, elle ne résista pas. À cause de son dévouement ou par peur, tu ne savais guère. Tant qu'elle t'était fidèle et soumise, tu te fichais bien de la manière et du pourquoi. « Une leçon s'apprend avec une démonstration. » Autrefois, tu lui avais volé son innocence en fauchant la vie de sa tendre mère. Aujourd'hui, tu devenais le voleur de toute sa vie, lui arrachant à jamais quelque chose qu'elle aurait dû garder pour l'homme promit. « N'hésite pas, décides. Ne l'oublie jamais. » Glissas-tu dans son oreille. Et elle ne douta plus jamais après ça … Qu'elle te haïsse. Qu'elle te craigne ; mais qu'elle ne te fasse plus jamais honte. AUJOURD'HUI ; Children are the inheritance of the Lord to us in this life and also in eternity. Eternal life is not only to have forever our descendants from this life. Ces derniers temps, quelque chose te préoccupe. Le doute s'est glissait vicieusement dans ton lit, et la crainte s’amoncelle dans ton esprit. Que t'arrive-t-il ? Quels maux ont bien pu t’accommoder alors que les dieux sont censés être intouchables et inaccessibles ? « Je peine à le dire, mais nous commençons à être vieux ... » Ta sœur aurait dû se taire ne faisant que remuer le couteau dans la plaie, creusant davantage la ride contrariée sur ton visage. Tu n'as pas peur de vieillir non. Qu'on t'adule tel une divinité personnifiée, tu n'as guère l'immortalité. Or, le temps est bel et bien ton ennemi actuellement. Trente-six années sans pour autant avoir de descendance masculine légitimée. Voilà le problème. Voilà le plus gros de tes soucis, celui que tu n'arrives pas à résoudre. Si d'autres avant toi avait concédé à transmettre la couronne aux multiples cousins, toi, tu te refuses à te faire à l'idée. Hors de question ! « Je ne veux rien céder à de simples cousins Edle ... » Et par quel autre moyen arriver à tes fins, si ce n'est pas un mariage que tu t'es toujours refusé ? BEHIND THE MIRROR Allez donc voir sur la fiche d'un certain prince |
| | Mer 22 Juil - 22:07 | Only one God, his name is Death. Only one thing we say to Death : “Not today”. |
| | Väna S. Den Ulvsnø ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Mer 22 Juil - 22:11 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Mer 22 Juil - 22:44 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| VÄNA : Déjà, tu vas me parler autrement jeune fille Il est où le respect ? C'est les Thornsfield qui ont déteint sur toi ? Je vais te refaire ton éducation illico moi, ça va être vite fait. Reviens à la maison ! J'aime me faire désirer. Forcément, il nous faudra un lien Garde m'en un au chaud. VEERJA : Voilà quelqu'un de dévoué C'est bien, prend exemple Väna ! |
| | Mer 22 Juil - 23:39 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
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Dernière édition par Serana S. Den Snëvørg le Jeu 23 Juil - 11:01, édité 1 fois |
| | Jeu 23 Juil - 1:22 | Le pouvoir peut être amassé par les puissants, et volé à des innocents. |
| | Vassilissa M. Thornsfield ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Jeu 23 Juil - 10:36 | fire in my veins, darkness in my heart |
| | Soazic N. Thornsfield ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| TE REVOILAAAAAAAAAAA en plus avec un perso et un avatar qui déchirent Alex il envoie du pâté j'ai pas le courage de lire ta fiche, mais jle ferai, jle ferai et je suis d'accord avec ma soeur sur la devise reste à ta place le yéti |
| | Jeu 23 Juil - 13:26 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Jeu 23 Juil - 14:56 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| SERENA : Je suis contente que l'histoire plaise quand même Fais moi un gosse et peut-être que je réfléchirai à éventualité de te mettre sur ce bout de papier Et puis un peu de respect veut-tu Je suis un dieu vivant LISSA : Vous attendiez tous que je poste ou c'est moi ? J’écrirai peut-être un ou deux chapitres de plus alors même si tu oses m'insulter, MOI LE TSAR Décidément, je suis trop bon avec le bas peuple ... Ou les cactus Il y a quelque chose que t'as pas aimé ? Dis-le pour que je change. Et pour la devise c'est involontaire le forum m'a influencé. En formulant ma phrase je me suis dit "merde, j'ai déjà entendu cette expression ... Ou c'était déjà ?" SOAZIC : Alors, tu me préfères comme ça ou en prince faux charmant ? Yeti ? Tu t'es vu gros gras dragon ? Retourne jouer avec les poissons, au lieu d'importuner les grandes personnes ! Je ne t'en voudrais pas si tu ne lis pas l'histoire, elle est pas terrible en soit, donc bon EDWARD : Je prendrai ça comme un compliment |
| | Jeu 23 Juil - 16:20 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| j'ai dé-vo-ré ta petite biographie de deux posts
/feels/ |
| | Jeu 23 Juil - 16:31 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Mon dieu cette fiche sublime Bienvenue en tout cas |
| | Jeu 23 Juil - 21:52 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| MISSANDEI : Ton gif m'a fait rire ! Merci ! Truc qui n'a rien à voir, j'adore ton pseudo ! KACEM : Bien que tu viennes du pays des couscous, je te remercie |
| | Ven 24 Juil - 3:12 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Sam 25 Juil - 12:47 | Nothing burns like the cold. |
| | Adalrik B. Icelandik ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Salopard psychopathe ? Un peu de respect pour le dieu que je suis je te prie C'est pas une cinglée au service des Thorsnfield qui va m'insulter de la sorte ! |
| | Dim 26 Juil - 12:45 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| On insulte pas les gens au service des Thornsfield mon petit Bienvenue parmi nous sinon et bon courage pour ta fiche |
| | Dim 26 Juil - 14:00 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Dim 26 Juil - 15:27 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| bienvenue parmi nous |
| | Dim 26 Juil - 18:57 | Et ta débauche ne leurre qu’un instant ton désespoir caché. |
| | Aumaric C. Montrose ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| DORA : je vais me gêner RAIS : oui sous Adalrik tu seras aussi insignifiant qu'un cafard pour moi mais ne t'inquiète pas Aumatic te donnera tout son amour :wiwi; merci pour les compliments ASLAUG : Merci ! *flemme de changer de compte* |
| | Dim 26 Juil - 19:24 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | Lun 27 Juil - 10:42 | | Invité ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Rebienvenue avec ce personnage qui envoi du pâté Ce choix d'avatar en plus Jotem |
| | Mer 29 Juil - 1:13 | I'm from the deep blue underworld - I'm the pearl. No ordinary girl. |
| | Tallulah Naïa Triton ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Alors, déjà je tiens à m'excuser pour ce retard fâcheux mais Sarah tenait vraiment à s'occuper de ta fiche, ceci explique cela puis... pour tout te dire, ta fiche est maudite y'a deux jours j'étais en train de rédiger le post de correction et mon ordi a planté, j'ai tout perdu frustration oblige j'ai laissé tombé Sarah s'en occupait hier soir et son chrome a fermé la fenêtre du coup, elle a tout perdu aussi... Franchement, je sais pas mais le cosmos est contre toi je te le dis Bref, trêve de bavardage, je viens donc m'occuper de ton petit tsar Alors, je ne peux hélas par encore ta valider car on aimerait reprendre certains points avec toi rien de trop conséquent je te rassure mais des petites choses qui nous chiffonnent quand même Tu connais déjà mon avis sur ta fiche que je t'ai laissé sur la première page pour moi tu as toujours une aussi jolie plume et j'ai pris grand plaisir à lire ton histoire cependant... Je t'avoue qu'on ne voyait pas vraiment Adalrik comme ça dans le sens où tu l'as fait vraiment très sombre, sanguinaire, despotique voir carrément maléfique parfois j'avais l'impression par moment de lire plus la fiche d'un Thornsfield que d'un Icelandik à dire vrai et ça nous a posé soucis. Parce qu'en fait, contrairement aux Thornsfield les Icelandik ce n'est pas la colère, la cruauté, l'agressivité, ils ne font pas naître la peur chez leur peuple, le nord les respecte, les admire, les idolâtre comme des dieux, t'as bien respecté la partie divinité d'ailleurs mais t'as vraiment trop forcé le trait malveillant genre limite sociopathe et Adalrik justement c'est l'extrême froideur, le coeur de glace, l'indifférence poussé à l'excès et là on ne sent pas tellement ce côté austère et stoïque en toutes circonstances. On dirait qu'il est du genre sanguin comme le viol de sa fille ça nous a un peu fait tiquer pour être honnête, certes, à part eux deux les jumeaux n'aiment personne et ne sont pas très famille donc qu'il ne ressente pas d'amour pour sa bâtarde c'est à juste titre mais de là à la violer pour la punir, on dirait presque qu'il n'est que pulsions or on avait imaginé Adalrik comme quelqu'un vraiment maître de ses émotions, impassible, c'est très difficile de l'atteindre, dur et glacial mais là... par moment on dirait presque que tu nous as fait une sorte de démon à la Bellial, le perso tout droit sortit de l'anti-chambre de l'enfer Et c'est ça qui nous bloque réellement dans ta fiche certes les Icelandik sont très loin d'être des enfants de choeur, c'est la famille suzeraine la plus redoutée et tyrannique avec les Thornsfield mais ça ne s'exprime pas de la même façon. Et autant sur certains aspects tu as vraiment sublimé le perso et on adore autant son aspect violent, monstrueux limite dérangé mental rongé par les ténèbres c'est pas tellement le PV J'espère que tu comprends notre point de vue si tu as des questions tu hésite pas, je pourrais te valider dès que l'aspect démoniaque sera atténué |
| | Mer 29 Juil - 9:02 | Et ta débauche ne leurre qu’un instant ton désespoir caché. |
| | Aumaric C. Montrose ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| Bon bah je laisse tomber, ce n'est pas grave, mais j'ai la flemme de tout refaire. Vous pouvez supprimer le compte. |
| | Mer 29 Juil - 13:49 | Le pouvoir peut être amassé par les puissants, et volé à des innocents. |
| | Vassilissa M. Thornsfield ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | |
| sérieusement tu préfères qu'on te supprime ? |
| | | | Contenu sponsorisé ALWAYS WEAR YOUR INVISIBLE CROWN | | | | Still ... In this world only winter is certain. | |
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